Mis à jour le 18/02/2022

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@ Le QDM Fin de vie : la sédation profonde et continue « peine à se mettre en place »

La parole des patients peut également être perçue comme une violence par les médecins. « C’est compliqué pour un soignant d’entendre que le patient veut rompre le lien. Cette responsabilité peut se révéler insupportable », commente Valérie Mesnage, neurologue à l’hôpital Saint-Antoine AP-HP.

Retrouver l'intégralité de l'article du quotidien du Médecin du 29/11/2018 en cliquant sur le lien.